Posté le: Mar Déc 27, 2005 5:25 pm
Sujet du message: J'me présente, je m'appelle Henri...
Non je déconne.
Tout d'abord, bonjour à tous, merci d'avoir répondu à toutes mes questions stupides, et merci de votre accueil.
Je vais maintenant vous raconter mon histoire, et par conséquent
L'EDIFIANTE HISTOIRE DU MAGASIN FRANCAIS QUI VENDAIT LE PLUS D'ANACHRONISM
En tout cas, c'est ce que les vendeurs nous ont toujours dit
Notre histoire commence en mai ou juin dernier, bref, à l'arrivée des 2 boosters de démo d'anachronism au magasin de jeux rennais
(j'éviterai de faire de la pub, ça pourrait être mal vu). Je fais partie des premiers à tester le jeu, qui prend bien auprès des joueurs rennais. Bref, quand la 1° édition arrive, moi et mon coloc acquérons les japonais et les scandinaves, et nous commençons à faire du prosélytisme auprès de nos amis. Sauf que.
Sauf qu'à Rennes, on nous a pas apris à jouer comme vous. Non, non, nous, pendant 7 mois, alors que les Anachronism se vendaient comme des petits pains et que les joueurs étaient de plus en plus nombreux, on jouait à Anachronism en mode "1 action chacun son tour". Du coup, le multi nous apparaissait beaucoup trop bourrin (tous nos tournois se sont fait en mono), les parties beaucoup plus longues, etc... Comme personne, pas même le lanista, n'avait pris la peine d'aller sur la ML du jeu ou même sur ce forum, l'erreur a tenu jusqu'à ce qu'un pote et moi commencions à nous interroger, après avoir relu le livret de règles une dizaine de fois.
Le lendemain j'étais ici, je posais la question, et Rennes pouvait enfin intégrer la communauté française d'Anachronism (il se peut tout de même que tous les joueurs rennais ne soient pas au courant, soyez indulgents si vous en croisez
).
A part ça, je m'appelle Simon, je suis étudiant à Rennes et je joue beaucoup (trop, diraient mes parents...) 8)
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Membre du Club des Suicidaires Autoroutiers.
Ne pleure de joie à la victoire que celui qui connait l'amertume de la défaite .
Ne peut jouir pleinement de la vie que celui qui a regardé la mort en face .
